La nouvelle inattendue tombe au PSG : « Il démarre sur le banc contre Arsenal »

C’était un feuilleton à suspense depuis une semaine. Touché aux ischio-jambiers lors du match aller de la demi-finale de Ligue des champions face à Arsenal, Ousmane Dembélé avait laissé planer le doute quant à sa titularisation ce mardi au Parc des Princes. Et ce suspense a pris fin à quelques heures du coup d’envoi : le Français débutera sur le banc.

Tout avait commencé par un frisson à l’Emirates Stadium. Buteur décisif dès la 4e minute, Dembélé avait ensuite quitté la pelouse en seconde période, visiblement touché à la cuisse droite. Le diagnostic s’est rapidement confirmé : étirement musculaire des ischios. Rien de grave, mais suffisant pour semer l’incertitude.

Préservé contre Strasbourg en championnat, l’ancien joueur du Barça a repris l’entraînement en début de semaine, avec prudence. Signe positif, certes, mais Luis Enrique est resté flou. Et comme souvent, le technicien espagnol a gardé ses cartes près du corps, refusant de confirmer sa titularisation malgré les signaux rassurants.

Luis Enrique tranche, Dembélé sur le banc

Selon RMC Sport, la décision est désormais actée : Ousmane Dembélé ne débutera pas ce soir face aux Gunners. Un choix fort, à la fois stratégique et prudent, à l’image de la gestion de l’effectif parisien cette saison. Car si le joueur est rétabli, la crainte d’une rechute dans un match aussi intense pèse forcément dans l’équation.

Luis Enrique a donc opté pour une autre configuration offensive pour débuter. Dembélé pourrait entrer en cours de match, si Paris a besoin d’un coup d’accélérateur en deuxième période. Et dans ce rôle, il reste redoutable.

Ce choix tactique offre au PSG une carte précieuse à jouer après l’heure de jeu. La capacité de percussion de Dembélé, sa vitesse et sa faculté à déséquilibrer n’importe quelle défense peuvent changer le cours d’un match. À 1-0 pour Paris au cumul des deux manches, le coaching de Luis Enrique sera décisif.

L’histoire dira si cette gestion prudente s’avérera payante ou si le PSG aurait dû miser d’emblée sur son électron libre. En attendant, les projecteurs sont braqués sur le banc parisien… et sur un certain numéro 10.