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L’altercation entre Grealish et Correa avec un Guardiola remonté lors de City- Atletico

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Jack Grealish est sorti de ses gonds ce mardi soir lors du quart de finale aller de Ligue des champions remporté par Manchester City contre l’Atlético de Madrid (1-0). Le joueur des Sky Blues n’a pas du tout apprécié un mauvais geste d’Angel Correa. Pep Guardiola a également affiché son agacement. Le money time était tendu ce mardi soir à l’Etihad Stadium. Quelques minutes avant la fin du quart de finale aller de Ligue des champions, remporté par Manchester City contre l’Atlético de Madrid (1-0), les esprits se sont échauffés après une altercation entre Jack Grealish et Angel Correa. À la 82e minute, l’ailier des Sky Blues est envoyé au sol après un duel avec Sime Vrsaljko. Dans la foulée, Correa frappe dans le ballon en direction de Grealish, allongé sur la pelouse. Le cuir heurte la jambe de l’international anglais puis touche son visage. Un regroupement se forme rapidement autour de la ligne de touche. Pep Guardiola a alors une explication de texte avec Correa et d’autres joueurs des Colchoneros, avant que Grealish ne se relève et glisse quelques mots doux à l’Argentin, qui écope d’un carton jaune pour son vilain geste. Le calme est cependant vite revenu à l’Etihad Stadium. Finalement, Manchester City a su garder son petit but d’avance afin de prendre une petite option pour les demi-finales grâce au but inscrit à la 70e minute par Kevin De Bruyne.

https://youtu.be/7Sd_3Ct-Kc8

Patient face à la double muraille de l’Atlético érigée par Diego Simeone, Manchester City a fini par trouver la faille par Kevin de Bruyne (1-0), dans un quart aller de Ligue des champions. Les hommes de Pep Guardiola prennent une petite option sur le dernier carré. Au coup d’envoi de ce City-Atlético, mardi, le scénario était trouvé d’avance: l’entrechoquement des styles de jeu, de l’ode au jeu léché et offensif des Anglais de Pep Guardiola à la célébration du goût de l’effort et du don de soi des Espagnols de Diego Simeone. Des généralités, quasi stéréotypes, entre ce qui constitue pourtant la meilleure défense de Premier League et la deuxième plus grosse artillerie de Liga. Mais hier soir de quart de finale aller de Ligue des champions à l’Etihad Stadium, c’est bien une attaque-défense à laquelle on a eu le droit. Un schéma finissant par récompenser les innombrables vagues anglaises. Finalistes malheureux la saison dernière, les Cityzens se sont longtemps cassés les dents sur la double muraille des Colchoneros, jusqu’à la faire craquer (1-0).

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