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Algérie : Grosse tension entre la FAF et Djamel Belmadi !

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Dans le contexte du football en Algérie, les tensions persistent entre Djamel Belmadi, l’ancien entraîneur de l’équipe nationale, et la Fédération Algérienne de Football (FAF), alimentant des discussions passionnées. L’essence de ce conflit réside dans un désaccord contractuel, mettant la FAF dans une situation inconfortable face au coach de 47 ans.

Suite à une élimination précoce au premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations 2023, la dynamique entre Djamel Belmadi et la FAF a subi un changement brusque. Walid Sadi, le président de la FAF, a communiqué la décision de Belmadi de se retirer, une annonce qui n’a pas été bien accueillie par l’ex-entraîneur des Fennecs. Originaire de Champigny-sur-Marne et clairement contrarié par cette situation, Belmadi a alors réclamé une indemnité de départ équivalente au reste de son contrat, prévu jusqu’en 2026. Cette demande représentait une somme d’environ 7,5 millions d’euros.

Grosse tension entre la FAF et Djamel Belmadi

La contre-proposition de la FAF, se résumant à trois mois de compensation, n’a pas été à la hauteur des attentes de Belmadi. En réaction, il a posé un ultimatum de huit jours à l’organisme pour qu’il réévalue son offre. Au-delà de cette période, l’ancien entraîneur envisage de porter l’affaire devant la FIFA pour obtenir ce qu’il considère être son droit, marquant ainsi le passage d’un désaccord contractuel à une querelle personnelle avec Sadi.

Un obstacle contractuel à résoudre entre Belmadi et la FAF

Dans le but de résoudre cette situation bloquée, la Fédération Algérienne de Football envisageait de mettre en lumière le retour anticipé de Belmadi au Qatar, qui a eu lieu avant la conclusion des pourparlers. Cependant, une révélation faite par le média Dzfoot complique davantage la situation : une clause spécifique inscrite dans le contrat de l’entraîneur, signé en 2022 sous l’égide du président Djahid Zefizef, autorisait Belmadi à exercer ses fonctions depuis ses résidences habituelles, incluant Doha et Paris. Cette stipulation semble limiter la capacité de la FAF à justifier son licenciement sur le fondement d’un départ précipité vers le Qatar.

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Actuellement, il n’est pas clair si une nouvelle proposition a été faite à Belmadi par la FAF. Belmadi semble néanmoins prêt à lutter pour ses droits, plaçant la FAF dans une situation délicate. Parallèlement, la fédération explore des options pour remplacer le sélectionneur, avec un intérêt pour de nouveaux candidats. Alors que Carlos Queiroz était précédemment considéré comme le principal candidat, José Peseiro, qui dirige actuellement les Super Eagles du Nigeria, semble maintenant être le choix préféré de Walid Sadi, le président de la FAF.

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