Le 8 septembre 2025, à Casablanca, l’Algérie n’a pu faire mieux qu’un match nul face à la Guinée (0-0). Si la qualification pour la Coupe du monde 2026 demeure largement à portée, cette contre-performance a déclenché une vague de critiques à l’encontre du sélectionneur Vladimir Petkovic.
Des choix vivement critiqués

La presse algérienne n’a pas tardé à réagir. Le Soir d’Algérie a titré sans détour : « C’est un nul ! », traduisant la frustration générale. Les commentateurs reprochent au technicien suisse ses décisions tactiques, notamment son choix de maintenir certains cadres comme Riyad Mahrez, jugé en méforme, au détriment d’options plus dynamiques.
La Gazette du Fennec a, de son côté, dressé un parallèle avec la gestion de Djamel Belmadi, estimant que la rigidité des schémas de Petkovic ne correspond pas aux attentes des supporters et des observateurs du football algérien.
Un discours à contre-courant

Face aux critiques, Petkovic a tenu à défendre son groupe. Selon lui, la Guinée « n’était pas supérieure » et l’Algérie a livré « une seconde période satisfaisante ». Un discours qui tranche avec le ressenti général des médias, lesquels soulignent au contraire le manque d’inspiration et de créativité des Verts.
Une pression croissante
Toujours leaders de leur groupe, les Fennecs gardent l’avantage dans la course au Mondial. Mais la tension monte à l’approche des prochaines échéances. En octobre, l’Algérie devra affronter la Somalie puis l’Ouganda, deux rendez-vous qui pourraient peser lourd sur l’avenir de Vladimir Petkovic à la tête de la sélection.
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