Il s’agit du 17e épisode d’une nouvelle série intitulée « MARCA: Histoires que nous n’avons jamais racontées », une collection d’histoires et d’anecdotes qui, jusqu’à présent, étaient archivées dans nos tiroirs pour différentes raisons et qui voient maintenant le jour.
, Samuel Eto’o a commencé à réaliser que quelque chose n’allait pas, sa mère au Cameroun ne recevait pas tout l’argent qu’il lui envoyait et une discothèque camerounaise qu’il possédait réclamait une série de paiements qu’il n’avait pas effectués L’agent d’Eto’o était en charge de ces paiements.Il s’est avéré qu’une entreprise dont le joueur était propriétaire et qui conservait la majeure partie de ses gains avait transféré sa fortune entre les mains de quelqu’un d’autre. pour cent de cette société, le reste étant au nom de diverses sociétés contrôlées par son agent, Jose Maria Mesalles.
Mais comment cela s’est-il passé? L’attaquant avait fait entièrement confiance à Mesalles depuis l’âge de 22 ans, lui permettant d’acheter, de vendre, d’effectuer des virements, de gérer ses paiements depuis l’Inter, tout en utilisant l’argent du joueur. , qui s’élevait à 40 millions d’euros entre 2006 et 2009, a été confiée à Mesalles.
L’entreprise précitée possédait un certain nombre de biens précieux d’Eto’o: quatre maisons à Palma, Barcelone et Paris, un immeuble entier à Douala (Cameroun) , des parkings, des rangements et une Bentley. C’est à ce moment-là qu’Eto’o s’est rendu compte que cette société ne possédait pratiquement plus rien et que toutes ses actions étaient menées par son ou ses sociétés sous son nom.
[totalpoll id= »794558″]Eto’o s’est également retrouvé endetté de plusieurs prêts qu’il avait consentis à ces sociétés. À l’époque, l’attaquant jouait pour Anzhi Makhachkala en Russie et, après avoir consulté des amis proches, il a renoncé à tous les pouvoirs de Mesalles et a intenté une action en justice contre lui. a pu récupérer sa grande fortune, bu À l’époque, il était au bord de la ruine financière.
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