Royston Drenthe a l’une des biographies les plus explosives du monde: le Néerlandais a eu un tourbillon de carrière, atteignant les sommets du Real Madrid et les bas du troisième niveau néerlandais, où il joue maintenant.Ce sont ses commentaires les plus choquants.
1. Sa vie avant le Real Madrid
Drenthe a rejoint Los Blancos en tant que voyou de 20 ans avec un style particulier auquel, éventuellement, l’Estadio Santiago Bernabeu n’aurait pas chaud.
Mon père a été tué quand j’avais trois ans. Il a été assassiné dans la rue. Ma mère me l’a caché pendant un certain temps pour me protéger. »
Royston Drenthe
Je viens de Rotterdam, des rues de Rotterdam, et vous devez être un dur à cuire là-bas. Je suis un homme depuis que je suis jeune. »
Royston Drenthe
2. Rejeter Barcelone pour le Real Madrid
Après le Championnat d’Europe des moins de 21 ans en 2007, les offres affluent pour Drenthe. Il ne voulait que rejoindre le Real Madrid, personne d’autre.
Il y avait 16 équipes après moi. J’ai parlé à Joan Laporta, président de Barcelone, ainsi qu’à Pedja Mijatovic, directeur sportif du Real Madrid. »
Royston Drenthe
Presque tous m’ont proposé plus ou moins les mêmes conditions, mais quand j’ai entendu que Madrid me voulait, ma décision était prise. »
3. Son temps au Real Madrid: le football
Vous devez diviser le sort de Drenthe au Bernabeu en deux sections. D’un côté, le football, où il n’a pas été à la hauteur du battage médiatique.
Je me suis immédiatement senti chez moi; ils m’ont accueilli chaleureusement. Guti était très bon avec moi et c’était une légende madrilène. »
Je l’ai appelé quatre fois de suite parce qu’il ne m’écoutait pas. Saviola, Saviola, Saviola, Saviola! C’était typique d’un match ou d’un entraînement. Puis il s’est arrêté et m’a frappé avec le ballon. Il a dit que je demandais trop le ballon. »
Les problèmes ont commencé avec [Jose] Mourinho, qui m’a poussé à quitter le Real Madrid. Le jour où la fenêtre de transfert s’est fermée, il m’a appelé et m’a dit que je devais partir. J’ai eu moins de 24 heures pour trouver un club! »
Royston Drenthe
Le département sportif a décidé que Marcelo devait jouer; il n’y avait aucune raison de me retirer de l’équipe. [Jorge] Valdano avait probablement plus confiance en Marcelo. »
Madrid est le meilleur club de l’histoire et j’ai joué pour eux. Personne ne peut l’enlever. Il y a des joueurs incroyables qui ont été liés à Madrid et qui n’y ont jamais joué. »
Royston Drenthe
4. Son passage au Real Madrid: la nuit
Dans un vestiaire qui contenait des fans de la vie nocturne madrilène, il était difficile pour un Drenthe de 20 ans de ne pas s’impliquer.
Madrid est une très belle ville, il y a beaucoup de restaurants, beaucoup de fêtes, de très jolies filles… Et vous êtes jeune, une joueuse madrilène… Il y a beaucoup de tentations qui se présentent devant vous. »
Royston Drenthe
Je suis sortie au casino avec un ami et deux très jolies filles sont venues nous voir. Nous avons tous les quatre fini par aller dans un hôtel et nous avons passé un très bon moment. Le problème est venu après: ils nous ont demandé 1 000 euros chacun. Je ne savais pas que nous devions payer! »
Je me suis bien entendu avec Robinho dès son arrivée. Parfois j’allais chez lui; il avait converti le sous-sol en une mini boîte de nuit. »
Je suis sorti, oui. Pas tous les soirs, comme les gens l’ont dit. Mais beaucoup de nuits, pas mal. Nous sommes allés au Bouddha et nous y avons passé un bon moment. »
Royston Drenthe
5. Sa carrière après Madrid
Hercules n’était qu’un des nombreux clubs pour lesquels Drenthe allait devenir dans les années après avoir quitté le Bernabeu.
À Hercules, ils ont cessé de nous payer et j’ai arrêté d’aller à l’entraînement. Ensuite, Mourinho m’a appelé et m’a fait une énorme révélation! Il a dit que j’étais un joueur du Real Madrid et je ne pouvais pas faire ça. Mais putain, tu devrais le voir s’il n’était pas payé! »
Royston Drenthe
Le coupable de la relégation d’Hercules devait incomber au conseil d’administration, qui a limogé Esteban Vigo, qui était un magnifique entraîneur. Ils ont fait venir [Miroslav] Djukic, qui se souciait seulement de nous enseigner ses redressements assis. Le gars pensait toujours qu’il était un joueur. »
J’ai joué en Angleterre, en Russie, en Turquie… mais les problèmes ont commencé avec mes agents et ce problème ne concernait pas seulement le football. J’ai arrêté de gagner beaucoup de choses et les problèmes ont commencé. »
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