Franco Baresi est largement considéré comme l’un des plus grands défenseurs du jeu.L’Italien a remporté tout ce qu’il aurait pu gagner dans le match de son illustre carrière avec l’AC Milan et l’Italie.
MARCA a eu l’honneur de s’asseoir pour parler avec les 60 ans. Vous êtes considéré comme l’un des meilleurs défenseurs de l’histoire.
Pourriez-vous décrire votre style? Je savais que j’étais talentueux, mais je savais que si je voulais vraiment être le meilleur, je devrais travailler dur et être cohérent.
Je suppose que ce sont ces choses qui ont fait de moi ce que j’étais. Tu as joué pour l’AC Milan pendant 20 ans.
[totalpoll id= »794558″]Que signifie pour vous ce club et cette ville? Milan est ma vie, une passion. Je suis arrivée à l’adolescence et j’ai tout gagné. Je repense à mon enfance, aux étapes que j’ai dû franchir et aux obstacles que j’ai dû surmonter … Je suis arrivé à l’adolescence, maintenant j’ai 60 ans et un peu plus sage et plus mature. J’ai tellement vécu avec Milan, un acteur et dans la gestion. Ce fut un long chemin; J’ai rencontré beaucoup de gens qui m’ont fait grandir et m’améliorer continuellement. Milan est ma ville.
J’adore sa culture, sa nourriture et son art. C’est un endroit où vous pouvez continuer à grandir.Vous avez été nommé capitaine de Milan à 22 ans et avez dirigé l’équipe pendant la majeure partie de votre carrière. Comment avez-vous géré la capitainerie? Je suis tellement fier d’avoir eu la chance de devenir capitaine de Milan pendant tant d’années; J’ai porté le brassard pendant 15 ans et c’est quelque chose qui a un effet incroyable sur le porteur.Peut-être que je n’étais pas prêt à 22 ans, mais j’ai appris en cours de route et j’ai dû me démarquer sur le terrain. Ce n’était pas seulement ma voix, je devais inspirer mes coéquipiers, faire preuve de courage et ne laisser personne derrière.
Vous avez remporté la Coupe du monde en 1982 et vous avez été finaliste en 1994. Pourriez-vous décrire ce que cela vous a fait de gagner et de perdre si dramatiquement? Faire partie et jouer dans une Coupe du monde est toujours un succès. En 1982, c’était une expérience unique de la gagner et de voir un pays tout entier célébrer. C’était tout simplement inoubliable. La déception de 1994 s’est progressivement estompée, mais j’y ai pensé au fil des années. Qu’est-ce qui vous a incité à rester à Milan pour toute votre carrière? N’as-tu jamais été tenté de partir? J’ai toujours cru au club; Je savais que je pouvais atteindre mes objectifs [avec eux]. Milan m’a tout donné et j’ai toujours essayé de leur donner le meilleur.
Vous avez joué avec certains des meilleurs joueurs de l’histoire. Selon vous, quels sont les meilleurs joueurs avec lesquels vous avez joué et contre? J’ai eu tellement de coéquipiers incroyables que je n’ai pas pu en choisir un. Mais si je devais choisir l’adversaire le plus fort, je dirais [Diego] Maradona. Vous étiez entraîné par Arrigo Sacchi et Fabio Capello. Comment sont leurs styles et comment ça fait de travailler sous eux? Sacchi était un footballeur perfectionniste et complètement changé en Italie, tandis que Capello était un expert et très détaillé dans son travail. Les deux sont très importants pour moi.Y a-t-il un joueur, actuel ou retraité, avec qui vous auriez aimé jouer? J’ai vécu une époque avec des joueurs extraordinaires, donc pour moi j’ai la chance d’avoir eu l’honneur de jouer avec eux et tout gagner. Qu’est-ce que cela signifiait de jouer contre ton frère Giuseppe dans le derby de Milan en 1079/80? Les derbies sont toujours excitants et encore plus quand tu joues contre ton frère. C’était super pour notre famille et une raison de célébrer.
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