À seulement 17 ans, Lamine Yamal vient d’entrer dans une autre dimension. Après son récital contre l’Inter Milan en demi-finale de Ligue des champions, les éloges pleuvent. De Haaland à Rio Ferdinand en passant par Thierry Henry, tout le gratin du football européen s’émerveille devant le phénomène barcelonais. La légende Anglaise pense même qu’il doit gagner le ballon d’or.
Dès que Lamine Yamal a marqué le but du 1-2 et frôlé un doublé sur une frappe qui heurte le poteau, Erling Haaland n’a pas pu se contenir. L’attaquant de Manchester City a lâché sur les réseaux : « Ce gars-là est incroyable. ». Court, simple, mais lourd de sens venant de l’un des meilleurs buteurs de la planète. Le Norvégien sait reconnaître le talent pur quand il le voit.
Sur CBS Sports, Thierry Henry et Jamie Carragher ont eux aussi salué la prestation du jeune crack du Barça. Mais c’est surtout Rio Ferdinand qui a surpris tout le monde par l’intensité de ses propos. L’ancien défenseur de Manchester United, d’habitude mesuré, a lâché sur X (ex-Twitter). « J’ose dire que Lamine Yamal est à un niveau beaucoup plus élevé que n’importe quel autre joueur dans les cinq grands championnats. ».
Puis, face caméra, l’Anglais de 46 ans a insisté, presque comme un mantra : « Il doit gagner le Ballon d’Or, le Ballon d’Or, le Ballon d’Or. ».
Lamine Yamal, un phénomène générationnel
Rio Ferdinand n’en est pas resté là. Il a expliqué pourquoi Lamine Yamal méritait déjà le sommet individuel mondial. « Ce qu’il fait à son âge, en Ligue des champions, après l’Euro qu’il a gagné… il marque en huitièmes, en quarts, en demi-finales… Oui, d’autres ont des stats. Mais Yamal, c’est autre chose. Ce qu’il dégage, ce qu’il transmet au public, cette sensation unique qui vous cloue au canapé ou vous fait bondir… c’est ça un joueur hors norme. ».
À mesure que les matchs avancent, Lamine Yamal transforme les sceptiques en croyants. Il ne séduit pas uniquement par ses chiffres, mais surtout par son aura. Chaque prise de balle respire la magie. Et quand des figures comme Ferdinand, Henry ou Haaland s’inclinent, c’est tout un symbole : l’Europe du football vient peut-être de découvrir son nouveau roi.
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