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Cité dans une affaire scandaleuse, Rabah Madjer se défend et compte sévir

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Le désamour entre une partie de la presse algérienne et Rabah Madjer ne compte pas finir de sitôt. Il y a quelques jours, une histoire a surgit et ceci ne pourra pas que monter la haine entre les deux parties. Accusé d’avoir encaissé une somme colossale de la part de l’Agence Nationale d’Edition et de Publication (ANEP) pour ses journaux qui ne paraissent plus, l’ancienne star des Fennecs donne sa version des faits. Et compte taper du poing sur la table.

Approché par nos confrères de Dzfoot, Madjer bat en brèche cette information révélée par le quotidien Soir d’Algérie. Et rétablit la vérité.

« Ils ont publié un article sur mes anciens journaux « Balagh » et « Balagh arriadhi ». J’étais propriétaire de ces journaux, mais je ne le suis plus. Et ils ont impliqué l’ANEP également, en disant que j’ai perçu de manière illégale une somme de 8 millions de dinars de leur part. Vous savez, normalement, je n’ai même pas à me justifier. Et je ne dois même pas commenter des informations totalement fausses, me défendre ou expliquer quoi que ce soit aux gens car je n’ai rien à me reprocher », a-t-il déclaré.

« Mais je tiens à répondre et mettre au courant toute l’opinion publique pour que celle-ci ne soit pas trompée ou induite en erreur. Encore une fois, je ne suis plus responsable des deux journaux que j’ai cités et ce depuis fin octobre 2019. Donc ceux qui m’incriminent prétendent avoir une preuve en disant que j’ai perçu une somme d’argent malgré la cessation de publication de mes journaux. C’est incroyable ! Normalement, ce n’est pas à moi de venir me défendre, mais aux gens d’El Balagh de venir répondre à ces fausses accusations. Mais du moment qu’on cite mon nom, alors je réponds car c’est très grav», a-t-il poursuivi.

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Apparemment, Rabah Madjer veut traduire ce journal devant les tribunaux pour que son image soit rétablie. Puisque cette révélation pourrait ternir son image et sa réputation.

« J’ai eu une conversation avec mes avocats en Algérie et nous sommes en train de réfléchir à la meilleure démarche à entreprendre. Nous sommes en train de préparer les choses convenablement pour faire face à ces attaques. Car cela ne peut pas continuer comme ça. Ça sera pour bientôt. En ce moment, je suis au Qatar et une fois en Algérie, je vais prendre ça très au sérieux. On est en train de me salir dans le monde entier. Et le malheur, encore une fois, c’est que les médias étrangers ont repris ce qui a été dit aveuglément. Et ces médias-là n’ont même pas cherché à me contacter pour vérifier la véracité des informations », a-t-il conclu.

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