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« C’est ce qui lui fait peur », Roberto Di Matteo dévoile le point faible de Guardiola à l’Inter

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Roberto Di Matteo connaît parfaitement Pep Guardiola.

Dans sa carrière d’entraineur, Roberto Di Matteo a rencontré Pep Guardiola à de nombreuses reprises. Que ça soit avec Schalke 04 en Bundesliga ou avec Chelsea en Ligue des Champions.

Pep Guardiola est un entraineur exceptionnel. Mais, il a un point faible. Celui d’avoir peur des entraineurs italiens. Une révélation faite par Roberto Di Matteo à la veille de la finale de Ligue des Champions contre l’Inter Milan.

« C’est plus qu’un entraîneur. C’est un visionnaire, studieux, créatif : il sait à quel point nous, les Italiens, sommes compétitifs, il nous craint. Cependant, jouer contre lui peut être douloureux : je l’ai aussi vu quand, en tant qu’entraîneur de Schalke, j’ai affronté son Bayern. Il met toujours de la qualité dans un système imprévisible, il change quand on ne s’y attend pas. Avant la demi-finale 2012, j’ai regardé des dizaines de matchs avec mon staff pour voir s’il avait des faiblesses… On a réfléchi à toutes les solutions possibles et le résultat était toujours le même : il n’y avait aucun moyen, sur le papier, ils auraient dû gagner. Mais ensuite, ce que vous mettez sur le papier se transforme comme par magie en réalité…« , a-t-il déclaré dans une interview accordée à la Gazzetta dello Sport.

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Face-à-face Pep Guardiola – Simone Inzaghi ce samedi

Demain, Manchester City va affronter l’Inter Milan en finale de Ligue des Champions. Ce sera le face-à-face entre Pep Guardiola et Simone Inzaghi, un entraineur italien. Ce qui peut compliquer la tâche au technicien espagnol des Sky Blues.

Bien que son équipe ne soir pas favorite de cette finale, Simone Inzaghi arrive avec ses joueurs pour déjouer les pronostics. L’entraineur italien n’a pas peur de l’armada des Cityzens.

« Nous parlons d’un match de football, donc je n’ai peur de rien. Vous devez accorder un peu de possession de balle à City, comme le font toutes les équipes du monde contre eux. Nous devrons être bons pour leur enlever certaines certitudes. Bien commencer sera fondamental. Je ne suis pas doué avec les pourcentages, mais nous allons nous battre« , a-t-il déclaré quelques jours avant la finale.

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