Ten Hag revient sur les erreurs d’Onana

Il faut qu’il arrête le ballon » : Ten Hag revient sur les erreurs d’Onana lors de la défaite du Bayern Munich

« Nous devons provoquer notre propre chance », a déclaré Erik ten Hag lors de son entretien d’après-match, après la défaite 4-3 de Manchester United face au Bayern Munich en Ligue des champions.

« C’est une question d’équipe. Des erreurs seront commises, mais il faut savoir rebondir en tant qu’équipe. Nous devons croire que même s’il y a des erreurs, nous pouvons revenir.

« Avant l’erreur d’André Onana, il était trop facile pour l’adversaire de tirer.

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« Bien sûr, il (Onana) sait qu’il doit arrêter le ballon, mais la façon dont Sane est passé ne peut pas l’être. Et sur le deuxième but, c’est presque pareil de l’autre côté, la facilité avec laquelle les joueurs entrent dans notre surface et finissent, ce n’est pas possible ».

Le Bayern était loin de son meilleur niveau, mais il a su saisir ses chances, contrairement à Man United, qui n’a pas réussi à dominer malgré une bonne entame de match.

Néanmoins, les Red Devils ne sont menés que d’un but, ce qui n’est pas si mal compte tenu de l’alignement des grands noms du Bayern.

Ce soir, Manchester United s’est incliné au bout d’un match dingue contre le Bayern Munich (4-3).

Interrogé par la TNT, André Onana, fautif sur le premier but, a pris l’entière responsabilité de la défaite : « Si nous n’avons pas gagné aujourd’hui, c’est à cause de moi. L’équipe était bonne, nous n’avons pas gagné ce match à cause de moi.

C’est difficile de perdre de cette façon. Nous avons bien commencé, mais après mon erreur, nous avons perdu le contrôle du match. C’est moi qui a laissé tomber l’équipe » a-t-il expliqué dans des propos rapportés par le compte MUnitedFR.

André Onana estime avoir laissé tomber l’équipe !

Il a ensuite poursuivi : « Mes débuts à Manchester ne sont pas très bons. Aujourd’hui, c’est l’un de mes pires matchs. C’était une grande opportunité pour nous de rebondir face à la pression à laquelle nous sommes confrontés, mais c’est difficile. Nous devons être solidaires.«