Le grand jour est finalement approche. Demain samedi, l’Inter Milan et Manchester City s’affrontent à Istanbul, en finale de la Ligue des Champions. Après avoir écarté respectivement Leipzig, le Bayern Munich et le Real Madrid en phase éliminatoire, les Skyblues vont tenter de conclure en beauté leur campagne europénne. Avant cela, il faudra compter sur l’Inter. Qualifié en finale, les Nerazzurri ont étonné le monde, en battant….
A la veille donc de la rencontre, Riyad Mahrez s’est prononcé sur le choc. Pour l’algérien, Manchester City est favori pour la victoire finale malgré une bonne équipe Interiste.
« Nous étions déjà en finale il y a deux ans, nous avons fait une demi-finale et deux finales en trois ans, c’est très important. Je pense que nous méritons de gagner la Ligue des champions, mais mériter ne signifie pas que nous l’avons déjà gagnée. Pour cela, nous devons le prouver sur le terrain, en tant qu’équipe et en tant qu’individus. Nous observons l’Inter, comment ils défendent et comment ils attaquent, pour essayer de les battre. Ils ont de très bons joueurs, mais nous devons nous concentrer sur nous-mêmes. », a déclaré Riyad Mahrez à SportMediaset.
Mahrez vers l’Arabie Saoudite
La rencontre face à l’Inter Milan, s’il jouait, pourrait être la dernière de Riyad Mahrez avec les Skyblues. Alors qu’il lui reste deux ans de contrat, l’algérien est courtisé par l’Arabie Saoudite. Comme nous l’apprend Fabrizio Romano, Al-Ahli est très intéressé par l’ancien Foxes. James Benge affirme de son côté que le président du club s’est rendu à Londres pour tenter d’obtenir sa signature. En revanche, Romano précise qu’aucune discussion avec Manchester City n’a été entamée pour le moment. Mahrez a encore deux ans de contrat avec les Skyblues, et ces derniers demanderont une somme conséquente pour accepter de le laisser partir.
[totalpoll id= »794558″]Riyad Mahrez n’a pas encore décidé pour son avenir
Pour le moment, le champion d’Afrique 2019 n’a pas encore décidé pour son avenir. Le voir rejoindre déjà le Golfe à seulement 32 ans paraîtrait utopique.
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